Conception graphique de l’ouvrage l’Île.26.217 pour la Compagnie Ola. L’île est une plongée entre les murs de l’ENAP (Ecole Nationale d’Administration Pénitentiaire) et une suite d’échanges épistolaires entre les professionnels du pénitentiaire et de futurs surveillants. Objet protéiforme, cette édition se déploie en trois formats différents. Avec le souhait de faire avec l’existant et d’achever ce projet au sein de l’école, nous avons fait appel au service de reprographie en interne, opté pour une impression numérique et une reliure en agrafes, utilisé les fins de stocks de papiers dorés et argentés dédiés aux fins d’années.

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Série d’affiches-dépliants des expositions de l’association Kimono.

Conception de l’identité visuelle de l’association et de sa papeterie. Un système ordonné guidé par le pli et les teintes de papiers. Un travail étendu sur une large gamme de supports qui a amené à redessiner et à mettre en cohérence cartes de visites, enveloppes, signatures, documents administratifs, chemises et dossiers de projets, images réseaux sociaux, newsletter. Mise à disposition des outils et suivi de production des objets imprimés.

studio812.eu

Conception graphique de l’exposition « Amorce. Qu’en est-il du processus de recherche en design graphique ? ». Une première édition présentée dans le cadre de la biennale de design graphique « Aperçu » du 23 au 26 mai 2024 à Bordeaux. « Qu’en est-il du processus de recherche propre au design graphique ? Quels en sont les ressorts ? Que trouve t-on à l’origine d’une production ? Comment saisir et connaître le cheminement d’une création graphique — qu’elle soit affiche, packaging, signalétique, journal, livre, logo, enseigne, habillage télévisuel, titrage de films, identité visuelle, dessin d’animation ou typographie ? En réunissant une trentaine de réalisations issues de treize ateliers, l’exposition Amorce livre des éléments de réponse. Les concepteur·ices et commissaires de l’exposition, eux-mêmes designers graphiques, ont mis au point un protocole qu’ils ont soumis aux graphistes exerçant comme auteurs dans les agences rencontrées. Des termes ont été choisis sous forme de mots clés : origine, repérer, routine, transmission, contexte, outils, collectif, impression, construire, jeu, contrainte, hasard, valeur, apprentissage, doute. Tirés au sort, ils ont donné lieu à des définitions à chaque fois singulières. Ils ont servi de mode d’entrée pour évoquer des projets. Ils organisent les catégories du regard dans l’exposition. Ils font apparaître des propositions qui couvrent tous les champs de la communication. Il en ressort une approche des savoir-faire renouvelée au gré des technologies, récentes ou non, toujours utilisées comme moteurs de créations. L’adresse à l’autre, commanditaire ou utilisateur, reste la préoccupation centrale. Apparaît une volonté commune de rendre visible et lisible une information accessible à tous·tes, tout en garantissant l’originalité du contexte de commande et de production. L’exposition devient une archive collective sur la base d’une iconographie plurielle (esquisses, photographies, notes, images, enregistrements, etc.) qui trace les grandes lignes communes à tout processus de création graphique. Et au-delà, elle permet de tisser des liens entre les professionnel·es, les commanditaires et les amateurs de design graphique. »

«Les pieds sous la table est un spectacle culinaire de la compagnie OLA pensé pour un quartier. Six habitantes racontent leur cuisine et préparent aux côtés de quatre chef·fes une recette pour 120 convives. Douze tables dans l’espace public sont dressées, six portraits sont racontés et vous font entrer dans la cuisine de Rachida, Magaly, Hülya, Miné, Sibel et Hacer. Des histoires qui se transmettent et qui invitent à déguster l’atlas culinaire d’un quartier, une cuisine à ciel ouvert dans le paysage. «Parce que la cuisine est un des récits vernaculaires de nos sociétés et que nous sommes convaincues que la première histoire racontée autour du feu est sans doute une recette de salade de cueillette au temps de la préhistoire. Parce que le ou la cuisinière est un artiste et qu’il compose avec une matière vivante un récit intime et collectif qui se transmet oralement ou sur un petit cahier taché de gras, et cela depuis des générations. OLA s’amuse à imaginer depuis sa création des propositions culinaires insolites qui se fabriquent avec des personnes, crée des collaborations avec des cuisinier.e.s et fait voyager de l’intime au collectif juste pour le plaisir de nos papilles.»

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pointdefuite.eu

« Cette pièce trouve son origine dans une création partagée, d’un rituel de transformation par le biais de l’art et de l’artisanat que Sylvie Balestra a mené en janvier 2023 avec des jeunes en milieu fermé, dans un Centre Éducatif Fermé (CEF), suite à une commande (1 % artistique) du ministère de la Justice. C’est la singularité de la démarche de Sylvie Balestra, chorégraphe-chercheuse, et son approche transdisciplinaire qui a été retenue par les ministères de la Justice et de la Culture. Dans cette phase 1, elle a conçu le projet avec une maroquinerie appartenant à l’un des pôles de l’entreprise Hermès qui a mis à disposition trois artisans, leurs outils et des cuirs pour la fabrication de masques. Elle a ensuite passé 5 semaines en immersion avec les jeunes du CEF. Ensemble, ils et elles ont plongé dans un processus artistique, en mettant en jeu leurs cultures. Ces rencontres ont été filmées par la réalisatrice Camille Auburtin. Ces réalisations – 7 parures et les images associées – sont exposées dans une installation conçue en collaboration avec la scénographe, muséographe et architecte Isabelle Fourcade. Ces parures exposées dialoguent avec 2 courts-métrages associés, réalisés par Camille Auburtin. À partir des prises de vue faites avec les jeunes, au CEF, ces vidéos mettent les masques en mouvement : les ballons de foot, basket et de rugby deviennent progressivement un masque, une armure, un mythe. Les mineurs, dont l’anonymat est préservé grâce aux masques, incarnent ses parures dans les vidéos. Pour accompagner l’exposition, un livret d’exposition a été conçu par le graphiste Guillaume Ruiz, regroupant sous la forme d’un livret-poster le récit de ce projet à partir de témoignages de celles et ceux qui ont contribué à cette œuvre. »

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La nouvelle identité graphique de Pointdefuite se déploie à travers un caractère typographique dessiné pour l’occasion et inspiré des normographes ou « traces-lettres ». Grâce à ses jeux de points, de courbes et de lignes, il traduit le processus de coopération qui se met en place dans une commande artistique Nouveaux Commanditaires : des temps d’échanges en commun qui mènent à la création d’une œuvre d’art. L’ensemble de la papeterie a été pensé et conçu pour une impression et un déploiement en interne. L’impression en noir à l’aide d’un photocopieur est privilégiée, avec une gamme de papiers teintés assurant la cohérence des différents supports de communication. Mise à disposition des outils et suivi de production des objets imprimés.

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Conception graphique de l’exposition « Amorce. Qu’en est-il du processus de recherche en design graphique ? ». Une première édition présentée dans le cadre de la biennale de design graphique « Aperçu » du 23 au 26 mai 2024 à Bordeaux. « Qu’en est-il du processus de recherche propre au design graphique ? Quels en sont les ressorts ? Que trouve t-on à l’origine d’une production ? Comment saisir et connaître le cheminement d’une création graphique — qu’elle soit affiche, packaging, signalétique, journal, livre, logo, enseigne, habillage télévisuel, titrage de films, identité visuelle, dessin d’animation ou typographie ? En réunissant une trentaine de réalisations issues de treize ateliers, l’exposition Amorce livre des éléments de réponse. Les concepteur·ices et commissaires de l’exposition, eux-mêmes designers graphiques, ont mis au point un protocole qu’ils ont soumis aux graphistes exerçant comme auteurs dans les agences rencontrées. Des termes ont été choisis sous forme de mots clés : origine, repérer, routine, transmission, contexte, outils, collectif, impression, construire, jeu, contrainte, hasard, valeur, apprentissage, doute. Tirés au sort, ils ont donné lieu à des définitions à chaque fois singulières. Ils ont servi de mode d’entrée pour évoquer des projets. Ils organisent les catégories du regard dans l’exposition. Ils font apparaître des propositions qui couvrent tous les champs de la communication. Il en ressort une approche des savoir-faire renouvelée au gré des technologies, récentes ou non, toujours utilisées comme moteurs de créations. L’adresse à l’autre, commanditaire ou utilisateur, reste la préoccupation centrale. Apparaît une volonté commune de rendre visible et lisible une information accessible à tous·tes, tout en garantissant l’originalité du contexte de commande et de production. L’exposition devient une archive collective sur la base d’une iconographie plurielle (esquisses, photographies, notes, images, enregistrements, etc.) qui trace les grandes lignes communes à tout processus de création graphique. Et au-delà, elle permet de tisser des liens entre les professionnel·es, les commanditaires et les amateurs de design graphique. »

Conception graphique de l’ouvrage et suivi de production.

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« Imaginez un groupe composé d’artistes invitées en résidence, de jeunes neuroatypiques, de mineurs non accompagnés, de familles des quartiers de Bacalan et de la Benauge à Bordeaux et de leurs éducateurs respectifs. Ce groupe partage un voyage de 3 jours, une expérimentation artistique et sociale, à l’apparence d’une colonie de vacances. »

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Ligne graphique et scénographie pour l’exposition Valérie Belin. Les visions silencieuses. Du 24 avril au 28 octobre 2024 à la Galerie et au Musée des Beaux-Arts de Bordeaux. « Régulièrement, le musée des Beaux-Arts de Bordeaux invite des artistes contemporains à porter un regard sur ses collections. En 2024, le musée a le projet d’accueillir l’artiste Valérie Belin dans le cadre d’une exposition organisée en partenariat avec la Galerie Nathalie Obadia, Paris/Bruxelles. Ce projet s’inscrit dans le prolongement des expositions consacrées par le musée des Beaux-Arts aux artistes femmes, de l’artiste contemporaine Suzanne Lafont en 2018 dans le cadre de la commande artistique Garonne, à Rosa Bonheur en 2022. Rassemblant une centaine de pièces couvrant toute la production de l’artiste, de la fin des années 1990 aux séries les plus récentes dont une inédite, l’exposition se déploie sur les deux sites du musée des Beaux-Arts, mettant en lumière la dimension singulière de son travail. »

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flint.fr

Dans le cadre d’Octobre rose 2023, le studio a été invité par le CHU de Bordeaux soutenu par la Fondation INDIGIO pour une campagne d’affichage de sensibilisation et la communication globale de l’événement Tour de poitrine(s). Celui-ci a proposé tout au long du mois des visites commentées en ville et dans les musées pour découvrir le patrimoine bordelais à travers la représentation de la femme. La conception graphique résulte d’échanges et d’ateliers menés avec sept femmes concernées et volontaires au sein desquels une série de portraits photographiques a été produite et un échantillon de témoignages retranscrit à l’écrit. En finalité, sept modèles d’affiches 120 x 176cm en sérigraphie ont été diffusées à l’échelle du réseau de la métropole du 18 au 31 octobre.

Conception de l’ensemble du système graphique et typographique de l’exposition collective Sedimental 4 – Art et géologie du futur. « Avec la montée du niveau de la mer, que devient notre rapport à l’environnement ? À l’horizon de changements climatiques à venir, qu’en est-il de notre amitié envers les plantes, les poissons, le sable ? Qu’en est-il de notre affection pour la géologie, pour cette terre sur laquelle nous évoluons ? Dans l’exposition itinérante Sedimental, artistes et architectes tentent de répondre à ces questions et rendent compte de ces nouvelles relations entre sédiments et action humaine. » Avec Pierre Labat, Yanaïta Araguas, Antoine Bellanger, Sandra Cuesta, MBL architectes, Dani Sánchez, Fermín Alvira & Jaime Eguaras, Rebecca Digne.

ferron-monnereau.com

compagnie-ola.org

Conception graphique d’une série de cartons d’invitations pour le projet d’architecture habitat solidaire.

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a6a.fr

Conception graphique d’une série de carte de voeux sur le thème du réemploi.

Conception de l’ensemble du système graphique et typographique de l’exposition Habiter – 10 ans de photographie. Un travail étendu sur une large gamme de supports de la communication globale à la mise en production des photographies et de la signalétique. « La Fab dévoile pour la première fois une sélection de 200 images extraites de son fonds photographique, constitué au fil des réflexions, des concertations, des projets et des chantiers menés sur la métropole bordelaise. Cette exposition invite à redécouvrir une métropole en constante transformation face aux défis sociaux, économiques et environnementaux. »

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Conception de l’ensemble du système graphique et typographique de l’exposition Habiter – 10 ans de photographie. Un travail étendu sur une large gamme de supports de la communication globale à la mise en production des photographies et de la signalétique. « La Fab dévoile pour la première fois une sélection de 200 images extraites de son fonds photographique, constitué au fil des réflexions, des concertations, des projets et des chantiers menés sur la métropole bordelaise. Cette exposition invite à redécouvrir une métropole en constante transformation face aux défis sociaux, économiques et environnementaux. »

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Conception graphique de l’ouvrage Échantillon 0.016 pour les éditions des Heures Exquises. « Au-delà de l’image de l’artiste présentée aujourd’hui comme modèle idéal de la créativité, qu’en est-il concrètement de l’être-artiste et du faire-artiste dans notre société ? Onze artistes inscrits dans le champ des arts visuels (Olivier Crouzel, Sabine Delcour, Louise Heugel, Kevin Huber, Geörgette Power, Nicolas Milhé, Anne Moirier, Guillaume Ruiz, le duo Segondurante et Marianne Vieulès), accueillis pour une durée limitée au sein d’une struc-ture artistique et culturelle: la Fabrique Pola à Bordeaux, ont décidé au moment de quitter leur atelier, de créer un lieu en commun sous la forme d’un livre. Échantillon 0.016 rassemble le récit choral de leurs voix anonymes qui met en résonance les coulisses de leur métier (Il n’y a pas de feu sans fumée, S. Delcour), un texte analytique basé sur l’expérience vécue et l’esthétique de l’existence qui donne sens à leur trajet artistique (L’être soi, C. Malaurie) et un corpus d’images des protagonistes au travail. » Un projet soutenu par la Région Nouvelle-Aquitaine, le réseau arts plastiques et visuels Astre et la Fabrique Pola.

Commande privée.

La plateforme Encyclopédie du geste au travail réunit 10 années d’enquêtes de terrain auprès de travailleurs et de travailleuses de divers corps de métiers. « Sylvie Balestra est allée à la rencontre de ces personnes, pour les interroger sur leur gestes, leurs sensations et leur corps engagés dans le travail. Ces observations ont donné lieu à plusieurs créations chorégraphiques. Avec cette encyclopédie nous révélons ce qui est invisible: à la fois la partie immergée de la démarche artistique de la chorégraphe, ce qui nourrit ses créations, et le quotidien de travailleurs et travailleuses. Cette encyclopédie est l’occasion de prolonger la conférence dansée Encyclopédie du geste ouvrier (forme spectaculaire, tout public) créée en 2020 et de partager directement les témoignages des travailleurs et travailleurs via des entretiens sonores, des vidéos et des images. » encyclopediedugesteautravail.fr

Atelier mené avec la communauté Roms quai de Brazza à Bordeaux. Durant trois après-midi, les enfants des différents camps ont été initiés au dessin de signes et de formes à l’encre de chine sur petits et grands formats en tissu. L’intention: Réaliser collectivement une série de drapeaux intercommunautaires à l’échelle du quartier. Dans le cadre de « La Fabrique Collective » initiée par La Fabrique Pola.

Conception graphique et direction artistique de l’ouvrage La Longue histoire du Tuyau de Claveau. « Le metteur en scène et comédien Massimo Furlan et la dramaturge Claire de Ribaupierre de la compagnie Numéro23.Prod ont imaginé, dans le cadre d’une commande Nouveaux commanditaires, un projet artistique, Le Tuyau de Claveau, avec les habitants du quartier Claveau à Bordeaux. Les deux artistes ont associé les chefs cuisiniers, Frédéric Coiffé et Stéphanie Bernhard qui ont conçu avec un groupe de cuisinières du quartier, la recette de la pâtisserie Le Tuyau de Claveau au cours de plusieurs ateliers cuisine. Ont également été organisés avec les habitants des temps de recherche et d’écriture menés par l’historien Quentin Deluermoz qui a dirigé la publication d’un livre écrit collectivement intitulé La longue histoire du Tuyau de Claveau. »

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« Autour de son archive, Marécages déploie une série de propositions artistiques; des vidéos questionnant la figure du rêve sous différents angles (images et sons oniriques, rêves lucides, corps endormis, etc.) réalisées par des artistes ainsi que des créations sonores jouant le jeu de la ré-interprétation. Nous avons également regroupé et faisons circuler un ensemble de livres et de films abordant le sujet. » Projet soutenu par la Drac Nouvelle-Aquitaine via le dispositif Cultures Connectées 2020 et du fonds d’aide à la création numérique et aux nouveaux formats Magnetic Bordeaux.

marecages.fr

Durant quatre jours, les deuxièmes et troisièmes années de DMADe Graphisme ont exploré la notion de contrastes au travers de l’édition, avec l’espace public de La Souterraine comme terrain d’expérimentation et de prélèvement visuel. Chaque binôme a produit une micro-édition de 16 pages en noir et blanc, avec couverture bichromie imprimée en risographie. Ces productions ont pour finir été réunies dans un seul objet-livre, témoin de la densité et de la singularité de ce workshop.

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lelabophoto.fr

 

« Trente Trente, initié et porté par la compagnie de théâtre Les Marches de l’Été et son metteur en scène Jean-Luc Terrade, défend depuis sa création en 2004 une programmation des formes courtes hybrides et pluridisciplinaires. »

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Accompagnement éditorial et conception de l’identité visuelle de la Compagnie Sylex. Développement de l’ensemble des supports de communication de la structure (brochure, newsletter, cartes postales etc.). « Qu’est ce qui nous met en mouvement ? Fondée en 2010 autour du travail de la chorégraphe Sylvie Baelstra, Sylex interroge ce qui met chacun d’entre nous en mouvement. L’écriture chorégraphique de Sylvie Balestra se nourrit de l’observation anthropologique et de l’écoute des savoirs intimes et singuliers d’individus en mouvement au sein d’une communauté de travail, sportive, géographique… Sylex développe un art de la relation et de l’attention au corps physique et au corps social. L’équipe constituée pour chaque création, met en place des protocoles de recherche associant les habitants de ces territoires ou les membres de ces communautés par des entretiens, des temps de pratique, de la prise de vue, des temps de convivialité. Ces recherches conduisent à une création chorégraphique, dansée sur scène ou ailleurs selon la cohérence du projet  et à des objets artistiques dit intermédiaires qui pour en rendre compte prennent place dans l’espace public concret ou sur le web (installations vidéos, cartographies, récits photographiques,etc). »

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Conception de l’ensemble du système graphique et typographique de la double exposition British Stories et Absolutely Bizarre!. Un travail étendu sur une large gamme de supports qui a amené à redessiner et à mettre en cohérence cartographie, frises, cartels d’œuvres, jeux, documents d’aide à la visite à destination de tous les publics, ainsi que tous les signes et panneaux des deux lieux.

Identité visuelle et communication globale pour la série d’événements Dans le ventre de… portée par le FIFIB et Bordeaux Food Club. Quatre dîners immersifs dans l’univers de quatre réalisateurs suivis de la projection en plein air dans le cadre de l’été métropolitain.

« Trente Trente, initié et porté par la compagnie de théâtre Les Marches de l’Été et son metteur en scène Jean-Luc Terrade, défend depuis sa création en 2004 une programmation des formes courtes hybrides et pluridisciplinaires. »

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Conception et développement d’une initiative graphique et sociale. Collecte et affichage mené dans l’espace public. Restitution présentée à La Fabrique Pola du 5 au 30 octobre 2020. 100 affiches format A0 sur panneaux électoraux mis à disposition par la ville de Bordeaux. « On trouve dans chaque commune de France des supports d’affichage libre pour promouvoir des idées ou des activités à but non lucratif. Réglementés et peu nombreux, ces mobiliers urbains ont pour habitude d’être accaparés par de la communication événementielle, ou à tort, publicitaire. En situation de post-confinement, juin dernier, ces espaces se sont vus plus disponibles. L’expression personnelle, d’autre part, limitée. De ce constat est née la volonté de se les approprier. « Voilà qui est dit » est une initiative sociale et graphique qui donne à voir dans l’espace public la parole d’individus. Une collecte de paroles a été menée en prenant part aux activités des associations socioculturelles de proximité. Boîte aux lettres ambulante, carnets et stylos à portée de main, saladier d’abricots, le dispositif est en place. La rencontre est spontanée, l’invitation à participer ouverte. Les intéressés de tous les âges sont conviés à révéler par l’écrit leurs pensées du moment. Qu’elles relatent d’un souvenir personnel ou d’un souhait pour la collectivité, ces réflexions nous basculent sensiblement dans la vie des autres. Brutes et sans sélection, quelques fois mêlées de coquilles, leur forme initiale est conservée. En somme, cent lettres ont été récoltées et intégrées à la conception d’affiches uniques pour couvrir l’ensemble des supports d’affichage libre de la ville. »

Conception graphique d’objets imprimés (livret architectural et paysager, note d’intentions, coffret) pour une candidature groupé opérateurs-concepteurs. Habiter, s’épanouir – 50 000 logements accessibles par nature. Ville du Haillan, ZAC Coeur de Ville, Îlot 7.

Conception graphique d’un livret pour une candidature aux lauréats des Albums des Jeunes Architectes et Paysagistes – AJAP 2020. Candidature sélectionnée.

Affiche et communication globale pour l’événement Sous-Pli. « L’exposition s’engage à rendre tangible l’envers inaccessible de la production d’une édition. Sous Pli inspecte les coulisses de la production physique et conceptuelle; espace mitoyen d’erreurs et de réussites. Articulé en lettres (le temps) et en chiffres (les échanges), 120 compositions et discussions ont été présentées. À travers un plan extrudé de 3 mètres vers le haut, l’accumulation de papier suspendu produit une architecture pénétrable et accessible. »

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Dans le cadre de l’identité visuelle de La Fabrique Affamée. « Une décennie a passé et il est temps de repenser le langage graphique propre à la communication de La Fabrique Affamée, compagnie basée à Hasparren. Son ancrage dans le Pays Basque et son offre multiple proposée à tous les publics nous ont conduit naturellement à imaginer un langage graphique ouvert, intemporel et dépourvu de tout logotype. Notre parti-pris, le dessin d’un caractère typographique sur mesure, s’appuie sur les recherches de M. Colas et son recueil d’inscriptions lapidaires datant de la fin des années 1800. Loin de la caricature et d’une tentation folklorique, ce dessin typographique hybride se nourrit d’influences multiples. Hamar urte iragan dira, eta ordu zen Hazparnen plantatua den Fabrique Affamée konpainiaren komunikazioaren hizkuntza grafikoa berriz pentsatzea. Euskal Herrian errotua izateak eta publiko guziei proposatu eskaintza aniztuna ukaiteak, hizkuntza grafiko irekia asmatzera ekarri gaitu, denboraz kanpoko hizkuntza grafikoa, eta logorik gabekoa. Neurrira egin tipografia baten sortzea hautatu dugu, Colas jaunaren eta haren 1800 hamarkada bukaerako harri-idazkunen bilduman oinarrituz. Karikaturatik eta folkloretik urrun, tipografia hibrido horrek eragin franko ditu. Itzulpenak: Joana Pochelu ».

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Identité visuelle et communication globale pour l’exposition personnelle Bal Violon de Raphaël Barontini à l’Espace29, Bordeaux. Dans le cadre de la Quinzaine de l’Égalité, de la Diversité et de la Citoyenneté organisée par Bordeaux Métropole.

Identité visuelle et communication globale pour l’exposition personnelle Bal Violon de Raphaël Barontini à l’Espace29, Bordeaux. Dans le cadre de la Quinzaine de l’Égalité, de la Diversité et de la Citoyenneté organisée par Bordeaux Métropole.

Identité visuelle, charte graphique et communication globale pour l’Atelier 6 Architecture. Le projet a débuté par la conception graphique d’un ouvrage de références et des supports de papeterie. Cette collaboration se poursuit jusqu’à ce jour par le développement d’un site internet ou de divers objets imprimés pour des candidatures.

Conception graphique de catalogues d’exposition pour le projet photographique Médiance et Paysage porté par La Fabrique de Bordeaux Métropole.